IL Y A DES BOMBES QUE L’ON PEUT ENCORE DESAMORCER.

Épidémies, malnutrition, maladies chroniques, pauvreté, le manque d’accès aux soins et à la santé est une véritable bombe à retardement en Syrie et en Ukraine.

Et si vous pouviez stopper ces bombes ?

IL Y A DES BOMBES QUE L’ON PEUT ENCORE DESAMORCER.

Épidémies, malnutrition, maladies chroniques, pauvreté, le manque d’accès aux soins et à la santé est une véritable bombe à retardement en Syrie et en Ukraine.

Et si vous pouviez stopper ces bombes ?

Pourtant, les pires bombes sont celles qui n’ont pas encore explosées…

“Je n’ai pas d’argent pour me soigner correctement.”

Je m’appelle Mounira Yassine, j’ai 65 ans, mon mari et mon fils sont morts sous les bombes.  Je vis sous les tentes du camp de Taftanaz avec ma belle-fille, mes enfants et mes petits-enfants. Il y a trois ans, j’ai tout perdu. Nous sommes venus nous réfugier ici faute de mieux. Coupure d’eau, pénurie de pain, dans les camps, nous manquons de tout.

 

Je n’ai pas d’argent pour me soigner correctement. Moi, j’ai mal aux jambes et j’ai des difficultés à respirer, je souffre d’hypertension artérielle. Je n’ai pas les moyens de consulter un médecin ni même de m’acheter un cachet de paracétamol pour calmer mes douleurs, c’est vous dire !

 

Aujourd’hui, les médecins de la clinique mobile de Mehad sont venus nous rendre visite pour des consultations et un suivi médical, une bénédiction pour toute la famille ! On se sent vraiment soutenu et écouté.

Avec 200 euros soit 68 euros après déduction fiscale, vous soutenez une clinique mobile dans les camps de déplacés en Syrie.

“Je n’ai pas d’argent pour me soigner correctement.”

Je m’appelle Mounira Yassine, j’ai 65 ans, mon mari et mon fils sont morts sous les bombes.  Je vis sous les tentes du camp de Taftanaz avec ma belle-fille, mes enfants et mes petits-enfants. Il y a trois ans, j’ai tout perdu. Nous sommes venus nous réfugier ici faute de mieux. Coupure d’eau, pénurie de pain, dans les camps, nous manquons de tout.

 

Je n’ai pas d’argent pour me soigner correctement. Moi, j’ai mal aux jambes et j’ai des difficultés à respirer, je souffre d’hypertension artérielle. Je n’ai pas les moyens de consulter un médecin ni même de m’acheter un cachet de paracétamol pour calmer mes douleurs, c’est vous dire !

 

Aujourd’hui, les médecins de la clinique mobile de Mehad sont venus nous rendre visite pour des consultations et un suivi médical, une bénédiction pour toute la famille ! On se sent vraiment soutenu et écouté.

Avec 200 euros soit 68 euros après déduction fiscale, vous soutenez une clinique mobile dans les camps de déplacés en Syrie.

“Notre souhait est avant tout de protéger nos enfants.”

Je m’appelle Maissa Fares, j’ai 27 ans. J’ai accouché il y a trois mois d’un petit garçon. Débuter sa vie sous les tentes n’est pas adaptée pour un nourrisson.

 

Il ne grandit pas correctement, ne grossit pas assez. Les médecins m’ont dit qu’il était malnutri. Mon mari travaille seulement deux jours par semaine. Ce qui est loin d’être suffisant pour nourrir correctement notre enfant et lui acheter du lait. Je suis désemparée…

 

Il y a beaucoup d’enfants dans notre camp de Taftanaz. Ils ont faim. Les médicaments ne sont pas accessibles et les cliniques privées sont trop chères pour les habitants qui n’ont pas de travail ou des revenus très précaires, comme mon mari. La venue des soignants de Mehad, qui offre des consultations gracieuses et des nutriments pour les enfants, est essentielle à notre survie. Du lait et des médicaments, ce sont nos besoins principaux aujourd’hui. Notre souhait est avant tout de protéger nos enfants. Leur donner un meilleur avenir.

Avec 200 euros soit 68 euros après déduction fiscale, vous soutenez une clinique mobile dans les camps de déplacés en Syrie.

“Notre souhait est avant tout de protéger nos enfants.”

Je m’appelle Maissa Fares, j’ai 27 ans. J’ai accouché il y a trois mois d’un petit garçon. Débuter sa vie sous les tentes n’est pas adaptée pour un nourrisson.

 

Il ne grandit pas correctement, ne grossit pas assez. Les médecins m’ont dit qu’il était malnutri. Mon mari travaille seulement deux jours par semaine. Ce qui est loin d’être suffisant pour nourrir correctement notre enfant et lui acheter du lait. Je suis désemparée…

 

Il y a beaucoup d’enfants dans notre camp de Taftanaz. Ils ont faim. Les médicaments ne sont pas accessibles et les cliniques privées sont trop chères pour les habitants qui n’ont pas de travail ou des revenus très précaires, comme mon mari. La venue des soignants de Mehad, qui offre des consultations gracieuses et des nutriments pour les enfants, est essentielle à notre survie. Du lait et des médicaments, ce sont nos besoins principaux aujourd’hui. Notre souhait est avant tout de protéger nos enfants. Leur donner un meilleur avenir.

Avec 200 euros soit 68 euros après déduction fiscale, vous soutenez une clinique mobile dans les camps de déplacés en Syrie.

Si j’avais reçu cette formation il y a une semaine à peine, j’aurais pu sauver une petite fille atteinte d’une hémorragie.

Je m’appelle Konstantine Pashchenko. Je suis chirurgien pédiatre à l’hôpital de Kharkiv. Nous sommes au cœur des lignes de front. Kharkiv est située à seulement 40 km de la Russie. Tous les jours, les sirènes retentissent et nous alertent des bombes qui peuvent nous attaquer. Il y a trois ou quatre bombardements par nuit. Notre hôpital a été visé par des attaques et a dû être partiellement évacué. 

 

Tous les jours et toutes les nuits, à l’hôpital, nous avons un afflux constant de blessés dont de nombreux enfants avec de multiples blessures. 

 

Prendre des décisions de vie ou de mort fait partie de notre quotidien. Maîtriser les techniques de médecine de guerre est vital pour la survie de nos patients. Nous n’avons pas le temps de faire de multiples examens. C’est impossible. Nous devons agir au plus vite avec les moyens que nous avons.

 

La formation à l’échographie d’urgence proposée par Mehad nous permet de prendre les bonnes décisions au bon moment pour sauver des vies. Clairement, si j’avais reçu cette formation il y a une semaine à peine, j’aurais pu sauver une petite fille atteinte d’une hémorragie. En ces temps troubles de conflit, se former à la médecine de guerre avec Mehad sauve des vies en Ukraine.

Avec 500 euros, soit 170 euros après déduction fiscale, vous participez à l’achat d’une sonde d’échographie d’urgence pour la formation des soignants en Ukraine à la médecine de guerre.

Si j’avais reçu cette formation il y a une semaine à peine, j’aurais pu sauver une petite fille atteinte d’une hémorragie.

Je m’appelle Konstantine Pashchenko. Je suis chirurgien pédiatre à l’hôpital de Kharkiv. Nous sommes au cœur des lignes de front. Kharkiv est située à seulement 40 km de la Russie. Tous les jours, les sirènes retentissent et nous alertent des bombes qui peuvent nous attaquer. Il y a trois ou quatre bombardements par nuit. Notre hôpital a été visé par des attaques et a dû être partiellement évacué. 

 

Tous les jours et toutes les nuits, à l’hôpital, nous avons un afflux constant de blessés dont de nombreux enfants avec de multiples blessures. 

 

Prendre des décisions de vie ou de mort fait partie de notre quotidien. Maîtriser les techniques de médecine de guerre est vital pour la survie de nos patients. Nous n’avons pas le temps de faire de multiples examens. C’est impossible. Nous devons agir au plus vite avec les moyens que nous avons.

 

La formation à l’échographie d’urgence proposée par Mehad nous permet de prendre les bonnes décisions au bon moment pour sauver des vies. Clairement, si j’avais reçu cette formation il y a une semaine à peine, j’aurais pu sauver une petite fille atteinte d’une hémorragie. En ces temps troubles de conflit, se former à la médecine de guerre avec Mehad sauve des vies en Ukraine.

Avec 500 euros, soit 170 euros après déduction fiscale, vous participez à l’achat d’une sonde d’échographie d’urgence pour la formation des soignants en Ukraine à la médecine de guerre.

N’abandonnons pas les soignant.es. Continuons à les protéger et à les équiper. Avec eux, sauvons toujours plus de vies.

Grâce à votre don, bénéficiez de votre réduction fiscale de 66%.

Notre impact

Grâce à vos dons, nous agissons, nous sauvons des vies. Ces chiffres comprennent les activités réalisés avec nos partenaires locaux.

d'actes de soins

bénéficiaires

infrastructures de santé

personnels de santé

naissances

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Mehad (Ex-UOSSM France) est une ONG française de santé et de solidarité internationale. Elle s’engage et alerte sur l’urgence de bâtir, avec les acteurs locaux, des systèmes de santé durables, garants de développement pérenne en faveur des populations. Mehad assure des missions vitales auprès des populations, en s’appuyant sur un réseau de plus de 1000 professionnels de santé, mobilisés depuis la France et partout dans le monde. 

Votre don est notre force. 66 % du montant de votre don au profit de Mehad peut être déduit de votre impôt sur le revenu. Le plafond de la déduction s’élève à 20% de votre revenu imposable. Ainsi, un don de 100 euros ne vous coûte que 34 euros. N° d’enregistrement SIREN : 534 576 566